Le corps humain est constitué de trois parties principales: la tête, le tronc et les extrémités supérieures et inférieures. La partie antérieure de la tête s’appelle la face. La tête est supportée par le cou (dont la partie postérieure, la nuque) qui l’unit avec le tronc. Celui-ci est relié avec les extrémités par les articulations.
’L’anatomie est une étude descriptive de l’appareil locomoteur (squelettique et musculaire) et de ses différentes fonctions. L’appareil locomoteur est constitué par des organes dont la fonction est le mouvement. Il comprend les parties dures et rigides (les os, les articulations) et les parties molles (les muscles).
Le squelette représente l’armature du corps, il lui donne sa forme et détermine, par ses articulations, l’amplitude et la direction des mouvements.
Les os
Le nombre d’os est relativement constant pour les os des
membres, il
varie un peu pour ceux de la colonne
vertébrale
(il en est environ 200). On classe les os en trois
catégories. Les os
longs sont situés au niveau
des membres (humérus, fémur, etc.). Les os
courts, irrégulièrement cubiques,
sont
situés sur l’axe du corps comme les
vertèbres, ou bien à
l’extrémité des membres comme les os du
poignet et du cou-de-pied (carpes, tarses, phalanges, etc). Les os
plats
constituent la
boîte crânienne et les
ceintures scapulaire et pelvienne (os du crâne,
omoplate, os
iliaque).
Les articulations
L’union de deux os porte le nom d’articulation. On
distingue trois grands types d’articulations dont la
distinction repose sur la plus ou moins grande indépendance
des os qu’elles réunissent et, par
conséquent, suivant leur degré de
mobilité. Ce sont: les articulation
immobiles ou
synarthroses reliées entre elles par du cartilage ou du
tissu fibreux (sutures
crâniennes), les articulations
semi-mobiles ou amphiarthroses s’observent entre
les corps
vertébraux; un fibro-cartilage
élastique, le
disque
intervertébral, réunit les surfaces
osseuses; son centre, le noyau pulpeux, réalise une sorte de
rotule qui permet l’inclinaison des corps
vertébraux dans tous les sens. La colonne
vertébrale doit à ces disques sa
fléxibilité et sa résistance aux chocs
et aux pressions. Les articulations
mobiles ou diarthroses sont
caractérisées par la présence entre
les surfaces articulaires d’une cavité
articulaire, une synoviale,
mince membrane qui s’attache au
pourtour des cartilages articulaires sans les recouvrir et
sécrète un liquide lubrifiant, la synovie. Pour
chaque articulation, les mouvements se définissent en
direction et en amplitude à partir de la position initiale
(c’est-à-dire la station debout, le membre
supérieur étant le long du corps, la paume de
main appliquée sur la face externe de la cuisse), dans les
trois plans de l’espace (frontal, horizontal et sagittal): la
flexion, l’extension, l’abduction,
l’adduction, la rotation externe, la rotation interne et la
combinaison de tous ces mouvements, la circumduction.
Les
articulations du rachis
La charpente osseuse est schématiquement
constituée d’une chaîne articulaire
médiane, le rachis
(ou colonne vertébrale)
servant de support à la tête. La colonne
vertébrale comprend 24 vertèbres, semi-mobiles,
prolongées à sa partie inférieure par
un bloc de vertèbres immobiles constitué du
sacrum et
du coccyx.
Dans un plan frontal, le rachis est sensiblement
rectiligne. Dans un plan sagittal, il présente à
décrire 4 courbures qui sont, de haut en bas:
- la lordose cervicale à concavité postérieure constituée de 7 vertèbres cervicales;
- la cyphose dorsale à convexité postérieure constituée de 12 vertèbres dorsales articulées elles-mêmes avec les 12 paires de côtes;
- la lordose lombaire à concavité postérieure constituée de 5 vertèbres lombaires;
- la courbure sacrée à convexité postérieure constituée de 5 vertèbres sacrées prolongées par le coccyx.
Les muscles sont les organes dont la propriété est la contraction. La connaissance de la structure et du fonctionnement du muscle est indispensable à l’exercice et à l’entraînement. Le système musculaire humain, qui représente environ les deux tiers du poids du corps, est composé de différentes sortes de muscles :
- les muscles striés : au nombre de quatre cents environ, ils constituent à eux seuls à peu près la moitié du poids total du corps. Ces muscles sont dits volontaires (ils obéissent à la volonté) et sont innervés par le système nerveux cérébro-spinal;
- le muscle du cœur : c’est également un muscle strié, mais qui n’obéit pas à la volonté;
- les muscles lisses : sont involontaires et innervés par le système sympathique et para-sympathique.
Même si tous sont d’une importance considérable dans le fonctionnement de l’organisme, c’est essentiellement à la première catégorie – celle des muscles striés squelettiques – que nous allons nous intéresser, dans la mesure où ils interviennent plus directement dans la motricité.
Le muscle strié squelettique est le muscle de la vie de relation. Il a souvent la forme d’un fuseau, avec un ventre charnu disposé entre deux tendons généralement fixés sur le squelette. Parfois le ventre de ce muscle est formé de deux, trois ou quatre corps musculaires : on parle alors de biceps, triceps ou quadriceps. Chaque muscle est enveloppé dans une membrane, l’aponévrose, qui divise la masse musculaire en faisceaux de fibres musculaires. L’ensemble des fibres musculaires innervées par une cellule de la corne antérieure de la moelle épinière porte le nom d’unité motrice.
Les fibres musculaires peuvent être classées en fonction de leur vitesse de contraction et de leur résistance à la fatigue :
- fibres lentes, encore appelées fibres rouges, sont riches en myoglobine. C’est au sein de ces fibres que s’effectuent principalement les processus oxydatifs de la contraction musculaire. Les motoneurones qui les innervent provoquent une contraction lente, mais qui débute immédiatement, même pour des contractions de faible intensité. Ce sont des fibres peu fatigables et qui sont particulièrement sollicités dans les exercices aérobies ou de longue durée. On les connaît également sous l’abréviation SO (de l’anglais : slow-oxydative);
- fibres rapides, encore appelées fibres blanches, contiennent moins de myoglobine que les fibres rouges. Elles interviennent essentiellement dans les exercices de type anaérobie et produisent des contractions musculaires rapides et de forte intensité (FG – fast glycolitic). Par contre, elles sont assez rapidement fatigables et correspondent à des efforts brefs et intenses;
- fibres de transition, correspond à des étapes de transition d’un type de fibre à l’autre, et ce en fonction de la nature du travail auquel le muscle est le plus fréquemment soumis. Elles sont plus fatigables, mais se contractent plus rapidement et sont donc encadrées plutôt dans le groupe de fibres rapides (FOG – fast oxydative-glycolytic).
Les différentes propriétés contractiles des fibres musculaires sont influencées par des facteurs génétiques et de l’environnement, tel que l’entraînement sportif, par exemple. Le pourcentage prédominant de fibres d’un type ou de l’autre favorise la pratique de certaines activités sportives. Chez le sprinteur « né », les fibres de type FG dominent, alors que chez les athlètes d’endurance « nés » (marathoniens) ce sont les fibres de type SO qui prédominent.
D’après une autre classification, on distingue les muscles de la tête et de la nuque, les muscles du tronc, qui assurent globalement la statique et la mobilité du rachis par rapport au thorax, à la tête et au bassin (dont les muscles abdominaux, du thorax, du bassin, du dos), et les muscles des membres supérieurs et inférieurs.
On trouve également les muscles qui ont tendance à s’affaiblir (m. scapulaires, abdominaux, fessiers, quadriceps des jambes, biceps ou triceps des bras, etc.) et ceux qui tendent à raccourcir (trapèze, grand dorsal, ischio-jambiers, muscles spinaux, etc.). Il peut y avoir un déséquilibre musculaire, conséquence de la compensation d’une faiblesse musculaire antagoniste.
Les
lésions osseuses
Les fractures peuvent résulter d’une chute ou
d’un mouvement brusque effectué avec une amplitude
articulaire anormale. Chez le sportif peuvent également
apparaître des fractures spontanées de fatigue,
sans traumatisme important, touchant en général
les membres inférieurs (métatarsiens, os de la
jambe …). Elles sont observées
lorsqu’il y a surentraînement sur terrains durs.
Lorsqu’un os est fracturé, la première phase de la réparation, qui débute durant les premières semaines suivant la fracture, consiste en la formation d’une masse fibro-cartilagineuse appelée cal. Puis, il s’opère un pontage de la fracture par l’os néoformé, qui prolifère au-dessus de la zone superficielle de l’os fracturé, de chaque côté de la ligne de fracture. Il enveloppe le cal fibro-cartilagineux pour former une arche osseuse tendue au-dessus de la fracture. Des travées osseuses prolifèrent en profondeur et remplacent peu à peu le cal. Les superstructures d’os néoformé disparaissent alors et il ne subsiste que l’os nécessaire pour assurer l’union des deux morceaux séparés par la fracture. Dans le cas d’une fracture d’un os long survenue chez un individu jeune, il faut environ six mois pour que ce processus se déroule complètement.
Les traumatismes
articulaires
Du fait de leur rôle mécanique, les articulations
sont parfois soumises à des forces considérables.
Les traumatismes articulaires après des chutes, des faux
mouvements, s’accompagnent d’hémarthrose
(saignement intra-musculaire). Les ligaments articulaires peuvent
être étirés ou
déchirés lors des entorses, avec souvent une
atteinte synoviale. Ces lésions sont la
conséquence de mouvements articulaires
exécutés violemment au-delà des
amplitudes habituelles. Selon l’état de
gravité, elles imposent l’immobilisation
articulaire ou la chirurgie. Lorsque les connexions articulaires ont
été déboîtées, il
s’agit d’une luxation. Celle-ci peut être
compliquée par des lésions des
ménisques.
Les
lésions musculaires
Les lésions musculaires peuvent être importantes
si elles sont la conséquence d’un choc portant sur
le muscle contracté. Elles peuvent également
survenir après un échauffement trop court ou
insuffisamment progressif, une diététique mal
adaptée, un apport hydrique insuffisant ou encore une prise
d’anabolisants. En outre, les risques d’accidents
musculaires augmentent avec l’âge du sujet.
On peut répertorier quatre types d’accidents musculaires. Le plus bénin est l’élongation qui résulte d’un allongement du muscle au-delà de ses possibilités d’extensibilité sans rupture de ses fibres. Elle peut s’accompagner d’une contracture définie comme étant une contraction permanente. Plus grave, les déchirures ou les claquages correspondent à une rupture d’un plus ou moins grand nombre de fibres musculaires, associée à une hémorragie intramusculaire formant un hematome. Les ruptures de plusieurs faisceaux de fibres musculaires sont plus graves. L’hématome est important et son évolution conduit souvant à un acte chirurgical. La rupture peut toucher un tendon musculaire; cela entraîne une rétraction du muscle qui perd alors toute possibilité fonctionnelle. La rupture du tendon d’Achille, par exemple, provoque la rétraction du muscle de la jambe extenseur du pied.
Par ailleurs, la pratique sportive s’accompagne souvent de microlésions musculaires. Ces lésions microscopiques sont fréquentes dans les courses de longues durée ou lors des efforts dits excentriques, qui associent simultanément étirement et contraction du muscle (course en descente, par exemple). Elles correspondent à une fragilisation de la membrane cellulaire , ainsi que d’une perte de la cohésion des éléments contractiles de la fibre musculaire. Certaines substances intracellulaires (myoglobine, enzyme) diffusent à l’extérieur de la fibre et s’échappent dans le sang et les urines. Heureusement, ces lésions ne sont pas définitives. La régénération musculaire a lieu en deux ou trois semaines grâce à une augmentation de la synthèse protidique. Ces microlésions sont surtout dues au surentraînement et apparaissent souvent après le dopage avec des amphétamines associées à des analgésiques de type morphinique.
Chez les sportifs de haut niveau, les lésions musculaires, tendineuses ou articulaires sont fréquentes. Elles ne sont pas spécifiques du sport et leur prévention est simple. Une approche progressive de l’effort, une bonne connaissance technique du geste, un matériel bien adapté à l’exercice et au sujet, une alimentation équilibrée et une hydratation correcte assurent une vascularisation normale des organes locomoteurs et diminuent les risques de traumatisme de l’appareil locomoteur.
Qui court le plus vite ?
- Quelle est la différence entre la course et la marche ?
- De quoi les muscles ont-ils besoin pour une contraction efficace ?
- Qu’est-ce qui se passe dans nos muscles en l’absence de dioxygène ?
- Quel poids représente la masse musculaire squelettique ?
- Quelle est la différence entre les muscles striés et les muscles lisses ?
- Quelle est la taille d’une cellule musculaire lisse et la taille d’une cellule musculaire striée ?
- Quelles formes ont les muscles striés ?
anus m řiť,
anus
appendice m červovitý
přívěsek, apendix
articulation f kloub,
kloubní spojení; ~ de la hanche
kyčelní kloub; ~ de l’épaule
ramenní kloub; ~ du coude
loketní
kloub; ~ immobile pevné
kloubní
spojení; ~ maxillaire
čelistní kloub; ~ mobile
volné kloubní spojení; ~
semi-mobile
částečně volné
kloubní spojení
astragale m hlezenní
kost
avant-bras m předloktí
bassin m pánev
boîte f crânienne
dutina lebeční
caecum m slepé střevo
carpe m
zápěstí
cartilage m chrupavka
ceinture f
pás,
opasek; ~ pelvienne pletenec
pánevní; ~ scapulaire pletenec
ramenní
cheville f
kotník; ~
externe vnější kotník; ~
interne vnitřní kotník
clavicule f
klíční kost
coccyx m kostrč
côlon m
tračník; ~ ascendant
vzestupný tračník; ~ descendant
sestupný
tračník; ~ sigmoïde
tračník
esovitý, sigma; ~
transverse příčný
tračník
colonne f vertébrale
páteř
concavité f
vydutost,
vydutina
convexité f
vypuklost, vypuklina
corps m tělo,
tělísko, jádro; ~ vertébral
tělo obratle; ~ du muscle tělo svalu,
svalové bříško
côte f
žebro; fausse
~/~ flottante volné žebro
cou m krk
coude m loket
cou-de-pied m nárt
courbure f oblouk,
zahnutí; ~ sacrée oblouk v
oblasti kříže
crâne m lebka
cubitus m loketní kost
cuisse f stehno
cyphose f
kyfóza,
prohnutí páteře dozadu; ~ dorsale
hrudní kyfóza
disque m disk,
ploténka; ~ intervertébral
meziobratlová ploténka
doigt m prst ruky
dos m záda
duodénum m
dvanáctník, duodenum
épaule f
rameno
estomac m žaludek
extrémité f
končetina; ~ inférieure
dolní
končetina; ~ supérieure horní
končetina
face f obličej,
tvář,
přední strana
fémur m
stehenní kost
fesses m pl hýždě, pozadí
fibre f
vlákno; ~
de transition přechodné vlákno;
~ musculaire svalové vlákno; ~
lente pomalé vlákno; ~ rapide
rychlé
vlákno
foie m játra
genou m koleno
hanche f bok, kyčel
hile m hilus, branka,
místo vstupu cév do orgánu; ~
pulmonaire plicní hilus
humérus m
pažní kost
iléon m
kyčelník, ileum
jambe f noha,
bérec
jéjunum m
lačník, jejunum
larynx m hrtan
ligament m vaz; ~
latéral interne vnitřní
postranní vaz ; ~ rotulien
čéškový vaz
lordose f
lordóza,
prohnutí páteře dopředu; ~ cervicale
krční lordóza;~ lombaire
bederní l.
main f ruka
maxillaire m čelist
membre m končetina ; ~
inférieur dolní končetina ;
~ supérieur horní končetina
ménisque m meniskus
mésentère m
okruží, mezenterium
métacarpe m
záprstí ruky
métatarse m
záprstí, nárt
moelle f dřeň,
morek ; ~
épinière
(páteřní) mícha ; ~
osseuse kostní dřeň
mollet m lýtko
muscle m sval; ~ du
cœur srdeční sval; ~ lisse
hladký sval; ~ strié squelettique
kosterní sval; ~s svaly, svalstvo;~s
profonds hluboké
svaly; ~s superficiels
zevní, povrchové svaly
abdominaux břišní
svaly
biceps
dvojhlavý sval pažní
brachialantérieur
ohybač paže
couturier sval
krejčovský
deltoïde
sval deltový
extenseur des doigts
natahovač prstů ruky
extenseur des orteils
natahovač prstů nohy
extenseur du carpe
natahovač ruky
fléchisseur des
doigts
ohybač/flexor prstů
ruky
fléchisseur du carpe
ohybač/flexor ruky
grand dentelé
pilovitý sval
přední
grand dorsal
široký sval
zádový
grand droit de
l’abdomen
přímý sval břišní
grand fessier
velký sval
hýžďový
grand oblique
zevní
šikmý sval břišní
grand pectoral
velký sval prsní
ischio-jambier
dvojhlavý sval
stehenní
jambier antérieur
přední sval
holenní
jumaux
dvojhlavý sval
lýtkový
péronier antérieur
přední sval lýtkový
quadriceps
čtyřhlavý sval stehna
radiaux
sval vřetenní
soléaire
lýtkový
sval, soleus
sous-scapulaires sval
lopatkové
spinaux svaly okolo
páteře
sterno-cléido-mastoïdien
kývač/zdvihač hlavy
tenseur du fascia lata
napínač
široké fascie stehna
trapèze
sval
trapézový
triceps
trojhlavý sval pažní
triceps sural
trojhlavý sval
lýtkový
vaste interne
velký přitahovač stehna
musculaire adj.
svalový;
déséquilibre ~ svalová
nerovnováha; faiblesse ~ ochablost svalů
nerf m nerv; ~ moteur motorický
nerv
neurone m nervová
buňka, neuron
nuque f šíje
œsophage m
jícen
omoplate f lopatka
orteil m prst nohy
os m kost; ~ court
krátká kost; ~ iliaque
pánevní kost; ~ long dlouhá
kost; ~ plat plochá kost
pancréas m slinivka
břišní, pankreas
péricarde m
osrdečník, perikard
péritoine m
pobřišnice, peritoneum
péroné m
lýtková kost
phalange f kost prstu
ruky nebo
nohy
pharynx m hltan
pied m nohy, chodidlo
plante f du
pied
ploska nohy, chodidlo
plèvre f
poplicnice,
pleura; ~ costale pleura costalis
poignet m
zápěstí
poitrine f hruď
poumon m plíce
(jedna)
rachis m páteř
radius m vřetenní kost
rate f slezina
rein m ledvina; ~s
bedra, kříž
rotule f
čéška, patela
sacrum m
křížová kost
sternum m hrudní kost
suture f
šev,
sešití; ~ crânienne
šev lebky
synovie f mok,
kloubní maz, synovie
talon m pata
tarse m
zánártí, nárt
tendon m šlacha; ~
d’Achille Achillova šlacha
tête f
hlava; ~
de l’humérus hlavice pažní
kosti; ~ du fémur hlavice
stehenní kosti
thorax m hrudník
tibia m holenní kost
tissu m tkáň; ~
fibreux vazivová tkáň; ~
musculaire svalová tkáň
trachée f
průdušnice, trachea
tronc m bronchique
bronchiální kmen
unité f motrice
svalová jednotka
ventre m břicho; ~ du
muscle svalové bříško, tělo
svalu
vertèbre f
obratel; ~
cervicale krční obratel; ~
dorsale/thoracique hrudní obratel; ~
lombaire
bederní obratel; ~
sacrée
křížový obratel
vésicule f biliaire
žlučník
viscères m pl
vnitřnosti